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La
façade de la maison Guiette :
Les Peupliers
(construite en 1927 par Le Corbusier) |
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Le
salon de la maison Guiette |
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En 1928,
le jeune peintre alors expressionniste est pris sous contrat
à la galerie du Centaure.
Il illustre des poètes et défend l'expressionnisme flamand
par des articles dans la revue Sélection.
Dès 1932,
il s'adonne à la photographie et réalise des reportages (en
1946, il deviendra professeur de photographie à l'Ecole supérieure
de la Cambre où il enseignera également l'harmonie des couleurs).
Peu avant la deuxième guerre, il travaille en dilettante comme
oenologue et négociant en vins tandis qu'il peint une fresque
dans la maison de l'architecte Léon Stynen.
En 1948,
suite à son orientation esthétique nouvelle, il se fait membre
de la Compagnie de l'art brut créée par Jean Dubuffet.
Sous le pseudonyme de Blaise Distel, il écrit des articles
dans les quotidiens anversois Le Matin et La Métropole.
En 1951,
le critique d'art parisien Michel Tapié défend le peintre.
Entre-temps l'artiste se voit invité à de nombreuses expositions
internationales.
En 1955,
il fait partie de l'équipe des peintres défendus à Paris par
la galerie Stadler et rencontre ainsi Tapiès, Tobey, Sam Francis,
Mathieu.
En 1975,
déjà malade de l'estomac, il reçoit le Prix Quinquennal de
Peinture, hommage de l'État belge à sa carrière féconde.
Le 19
octobre 1976, dix jours avant son épouse, René Guiette décède
dans une clinique anversoise.
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